Plongez au cœur des missions extérieures avec "Raconte-moi une OPEX", le podcast de l'Office national des combattants et des victimes de guerre. Nos invités, dé...
Paul-Émile "On allait chercher les sous-marins russes cachés sous la calotte glacière" #7
Dans ce nouvel épisode de “Raconte-moi une OPEX”, 🎙️plongez dans l'incroyable témoignage de Paul-Émile, ancien capitaine de frégate de l'aéronavale ✈️.Depuis son engagement à 17 ans jusqu’à ses missions sur le porte-avions Clémenceau et au cœur des opérations au Liban, Paul-Émile partage des récits uniques. Découvrez son rôle dans la chasse aux sous-marins soviétiques, ses souvenirs marquants en Algérie et son lien indéfectible avec la cohésion militaire.🤝Cet épisode met en lumière les valeurs d’excellence et de solidarité qui traversent une carrière militaire, tout en offrant une réflexion intergénérationnelle grâce à la participation de Nathan, lycéen à Nîmes. Paul-Émile revient également sur son engagement auprès de l’ONaC-VG et son rôle dans la transmission de la mémoire des OPEX aux jeunes générations.Un témoignage inspirant qui célèbre la rigueur, le courage et l’esprit d’équipe des militaires français en opération.🇫🇷Pour en savoir plus sur la carte du combattantLa page Instagramde l'ONaC-VGL'ONaC-VG sur LinkedinLa chaîne YouTubeLes dernières infos de l'ONaC-VG sur XLes métiers de l’aéronautique navaleUn documentaire sur l'attentat du Drakkar au LibanHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Matthieu " En Opex, sans la fraternité ça ne peut pas fonctionner " #6
Dans cet épisode de Raconte-moi une OPEX, le podcast de l’Office national des combattants et des victimes de guerre, nous rencontrons Mathieu, ancien artilleur et chef de la cellule OPEX au Corps de Réaction Rapide France, qui partage son parcours militaire avec Cécilia, une jeune collégienne passionnée par la défense.De l'engagement au terrainMathieu revient sur son entrée dans l’armée à 19 ans, sans antécédents militaires dans sa famille. Il explique son rôle d’artilleur, une fonction clé dans les opérations extérieures, et évoque sa première mission au Liban en 2007. Ce premier déploiement, rempli d’excitation et de cohésion avec ses camarades, a marqué le début d’une carrière riche en expériences.L’art de la résilienceMathieu raconte ses nombreuses OPEX, notamment en Centrafrique, où il a été confronté à des réalités difficiles, comme la perte d’un enfant local collaborant avec son unité. Ces expériences ont forgé son esprit, mais ont aussi laissé des traces, menant à un stress post-traumatique. Il décrit avec sincérité le défi de reconnaître cette blessure invisible et l’importance d’un soutien institutionnel, comme celui offert par l’hôpital militaire de Percy.L’accompagnement par l’ONaCVGL’épisode met également en lumière le rôle crucial de l’ONaCVG. Mathieu témoigne de l’aide reçue, notamment pour sa réinsertion, et du soutien accordé à sa fille, reconnue Pupille de la Nation. Ces mesures, encore méconnues, incarnent l’engagement de la France envers ses militaires et leurs familles.À travers ce dialogue touchant, Mathieu nous fait découvrir l’univers des OPEX, ses joies, ses défis, et les valeurs de fraternité et de résilience qui animent les soldats.Pour plus d'information sur l'ONaC-VG rendez-vous sur le site internetPour faire votre demande de la carte du combattantLa page Linkedin de l'ONaC-VGLe nouveau clip de présentation de l'ONaC-VGHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jean-Marc : "Dans les forces spéciales réussir la mission c'est parfois ne jamais tirer un coup de feu" #5
Dans cet épisode de Raconte-moi une OPEX, l’Office national des combattants et victimes de guerre nous emmène à Orléans pour une rencontre unique. Marianne, une jeune lycéenne, interviewe Jean-Marc, ancien membre des Forces Spéciales de l'armée de l'Air et de l'Espace. Avec authenticité, Jean-Marc partage son parcours depuis son engagement précoce à 17 ans, inspiré par la tenue de ses camarades, jusqu’aux missions intenses et aux défis des opérations extérieures (OPEX) qu’il a menées, notamment à Djibouti et en Afghanistan.Ce dialogue intergénérationnel aborde également les sacrifices personnels liés à la carrière militaire, notamment les longs départs et l'impact sur la famille. Jean-Marc explique comment il a surmonté la peur en opération, ainsi que son rôle actuel auprès de l'ONAC, où il s’investit dans la mémoire et la transmission pour sensibiliser les jeunes aux réalités des engagements militaires. Cet épisode offre un témoignage poignant sur la valeur de l’engagement, l'importance de la transmission des expériences, et le lien indéfectible qui unit les soldats.Pour plus d'information sur l'ONaC-VG rendez-vous sur le site internetLa page Linkedin de l'ONaC-VGLe nouveau clip de présentation de l'ONaC-VGHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Céline, brancardier-secouriste en Afghanistan : « en OPEX on n’a pas le droit à l’erreur » #4
Dans cet épisode de "Raconte-moi une OPEX", Céline, infirmière militaire, partage son parcours et son expérience, notamment sur son déploiement en Afghanistan en 2010. Engagée à 21 ans au sein du régiment médical en tant que brancardier secouriste, Céline a ensuite évolué vers la carrière d'infirmière diplômée d'État, tout en restant au service de l’armée, une vocation qui est née d’un désir de servir son pays après l'obtention de son baccalauréat.Lors de son déploiement en Afghanistan, Céline a été affectée à Kaboul, où elle s’est occupée des blessés militaires et civils, qu’ils soient français, afghans ou d'autres nationalités. Elle évoque les défis d'un hôpital militaire en période d’intenses attaques terroristes et décrit son adaptation à une culture totalement différente de celle de la France. Sur le terrain, elle a été confrontée à de nombreuses situations d’urgence, où elle a pris en charge des victimes de guerre, une expérience qui l’a profondément marquée.L’infirmière militaire revient aussi sur la gestion du stress post-traumatique (SPT), un syndrome qui l’a touché plusieurs années après son retour d’Afghanistan. Ce n’est que 10 ans après avoir quitté l’Afghanistan, lors de la prise de Kaboul par les talibans qu’elle regarde aux informations, que ses symptômes se sont intensifiés, révélant un stress post-traumatique non traité pendant des années. Ce retard dans la reconnaissance de sa blessure est un exemple de la difficulté qu’ont certains militaires à exprimer leurs souffrances psychologiques.Grâce à l’aide de l’ONaC-VG et d’associations comme les Gueules Cassées, Céline a pu obtenir une reconnaissance officielle de sa blessure de guerre et un accompagnement administratif essentiel. Elle insiste sur l’importance de ces structures pour aider les soldats blessés, notamment dans leurs démarches pour la pension d’invalidité militaire ou l’aide sociale. Grâce à eux, Céline a également pu faire reconnaître sa fille comme Pupille de la Nation, un symbole fort de reconnaissance pour les sacrifices réalisés par les militaires blessés.Aujourd'hui, Céline continue de bénéficier d’un suivi régulier, tant pour son stress post-traumatique que pour ses démarches administratives. Elle reste également en contact avec des associations de militaires, soulignant l’importance de la solidarité entre blessés. Cet épisode est aussi l’occasion d’insister sur l’importance de la prise en charge de la blessure post-traumatique, notamment en intégrant davantage de psychiatres dans les structures de soin des armées.Pour en savoir plus sur Office national des combattants et des victimes de guerre rendez-vous sur :La page FaceBook de l'ONaCVGLe compte Instagram de l'ONaCVGLe compte Linkedin de l'ONaCVGPour en savoir plus sur le service de santé des Armées, suivez ce lienUn résumé de l'opération Pamir en Afghanistan (2001-2014)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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21:03
Jean-Marie : "Nous venions en aide à la population" #3
Jean-Marie, ancien sous-officier ayant servi sur de nombreux territoires, nous partage son parcours militaire au sein de l’armée de Terre.Engagé sur un coup de tête en 1975, il se spécialise rapidement dans le déminage, une vocation qui l'amène à intervenir en France, en Martinique et sur plusieurs théâtres d'opérations extérieures (OPEX).Parmi les missions les plus marquantes de sa carrière, il évoque son engagement lors de la guerre du Golfe en 1990, où il est envoyé en urgence pour déminer des puits d'eau à Koweït City. Il décrit les conditions difficiles de son intervention, souvent avec un équipement limité. Au travers de son témoignage, l’ex-soldat souligne l'importance de la cohésion et de la préparation mentale pour gérer la peur face au danger.Avec beaucoup de pudeur, il raconte également ses missions au Kosovo en 2000, où il a travaillé en collaboration avec des équipes belges, et quelques années auparavant au Cambodge, où la densité de mines disséminées sur le terrain représentait un danger constant pour la population locale. Une mission essentielle pour permettre de restaurant une vie plus normale pour les habitants, mais extrêmement dangereuse comme lorsqu’il a dû neutraliser une mine artisanale camouflée dans un arbre, un souvenir qui l'a profondément marqué.Après 27 ans de service, et de nombreuses opérations en France et à l’étranger, le militaire décide de prendre sa retraite. C’est à ce moment-là qu’il découvre l'ONaCVG (Office national des combattants et des victimes de guerre), avec lequel il entretient des relations régulières, notamment à travers des programmes de mémoire où il témoigne auprès des jeunes de son expérience.Enfin, Jean-Marie insiste sur l'importance de transmettre son histoire aux nouvelles générations, afin de perpétuer la mémoire des conflits récents et des opérations extérieures notamment celles auxquelles il a participé.Pour en savoir plus sur Office national des combattants et des victimes de guerre rendez-vous sur : La page FaceBook de l'ONaCVGLe compte Instagram de l'ONaCVGLe compte Linkedin de l'ONaCVGPour en savoir plus sur la guerre du Golfe, suivez ce lien Pour en savoir plus sur la mission des soldats français au Kosovo, suivez ce lien, suivez ce lien Pour en savoir plus sur la mission des casques bleus français au Cambodge, suivez ce lien Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plongez au cœur des missions extérieures avec "Raconte-moi une OPEX", le podcast de l'Office national des combattants et des victimes de guerre. Nos invités, déployés à des milliers de kilomètres de chez eux, souvent au péril de leur vie, partagent leurs expériences uniques et poignantes.
Dans cette série, des vétérans d'OPEX répondent aux questions des lycéens et collégiens, offrant un aperçu authentique et émouvant de la réalité de la vie des militaires en opération. Découvrez qui ils sont, leurs questions avant de partir en mission et comment se déroule leur retour après avoir vécu des expériences aussi fortes. Ce podcast est aussi l’occasion d'explorer également le rôle crucial de l'ONAC-VG dans la reconnaissance et le soutien de leur engagement.
À travers des témoignages sincères, parfois bouleversants, nous parcourons les déserts du Sahel, les montagnes afghanes, les jungles africaines ou encore les vallées des Balkans. Chaque épisode est une opportunité de comprendre et de sensibiliser les jeunes générations à travers des histoires de courage et de résilience. Ce podcast est un moment d'intimité ces hommes et femmes se livrent sans retenue, souhaitant partager leur vécu avec force et sincérité.
Rejoignez-nous pour ces récits tout aussi captivants qu’inspirants.
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