Powered by RND
Écoutez BetaSeries La Radio dans l'application
Écoutez BetaSeries La Radio dans l'application
(48 139)(250 169)
Sauvegarde des favoris
Réveil
Minuteur

BetaSeries La Radio

Podcast BetaSeries La Radio
BetaSeries La Radio
Tous les podcasts des émissions de BetaSeries La Radio

Épisodes disponibles

5 sur 200
  • Zorro avec Jean Dujardin : le héros masqué reprend du service
    Mis à jour le 23 décembre 2024 : Après avoir fait son tour sur Paramount+, voici que Zorro sous les traits de Jean Dujardin arrive sur france.tv, avec les épisodes à découvrir gratuitement sur la plateforme ou en linéaire à partir de ce soir 21h10 pour quatre semaines. En 1821, Don Diego de la Vega devient maire de sa bien-aimée ville de Los Angeles qu’il compte bien faire prospérer. Cependant, la municipalité est confrontée à des problèmes financiers du fait de l'avidité d'un homme d'affaires local. Diego n'a pas fait appel à son double Zorro depuis vingt ans. Mais, au nom de l’intérêt général, il n'a plus d'autre choix que de ressortir son masque et son épée. Très vite, Diego va rencontrer des difficultés à concilier sa double identité de Zorro et de maire, ce qui met à rude épreuve son mariage avec Gabriella, qui ignore son secret. [bs_show url="zorro"] Article publié le 5 septembre 2024 : Los Angeles, Haute-Californie en 1821. Voilà bientôt 20 ans que Don Diego de la Vega a remisé son costume de Zorro au placard. Marié à Gabriella, il vit une relation monochrome ternie par un quotidien qui a érodé leur passion. Ainsi passent ses jours qui se suivent et malheureusement se ressemblent. Mais lorsque son père, alcade de la ville, décède, Don Diego hérite d’une cité qui prend l’eau, lestée par de nombreuses dettes et un esclavagisme flagrant mené sans vergogne par Don Emmanuel. Afin de redresser la barre et redonner leur liberté aux autochtones, il n’a d’autre choix que de ressusciter son pendant masqué pour le plus grand plaisir de son fidèle compagnon, Bernardo. La série éponyme de 8 épisodes, à voir sur Paramount+, signe le retour à la pointe de l'épée (et à la télé) de Zorro dans une comédie aiguisée, portée par une galerie d’acteurs qui portent haut les couleurs de personnages emblématiques. https://www.youtube.com/watch?v=uRSr9QlgWA0 Pile : un Don Diego de la Vega pleutre, face : un Zorro plein de panache Vouloir redonner vie à un personnage emblématique comme Zorro, déjà maintes fois revisité, n’est jamais chose aisée ! Il s’agit de respecter le cahier des charges initial afin de ne pas dénaturer une figure qui fait partie du patrimoine culturel français, voire international, tout en insufflant une part significative d’originalité pour éviter le piège du « déjà-vu ». Et dans cette entreprise délicate, Benjamin Charbit et Noé Debré, les deux scénaristes de cette nouvelle série à retrouver sur Paramount+, ont choisi d’offrir une version humoristique qui prend ses racines dans un anachronisme délicieux et une mise en abyme constante des personnages que l’on voit analyser en temps réel la situation – souvent ridicule – dans laquelle ils se trouvent. Des personnages, d’ailleurs, très en avance sur leur temps, qui font naître avec ce décalage des scènes absolument ubuesques. Ainsi, on peut voir le sergent Garcia (Grégory Gadebois) lire une lettre de griefs à Zorro (Jean Dujardin qui n’est jamais très loin de son personnage d’OSS) expliquant le travail qu’il a dû effectuer sur lui-même pour trouver son « zen » suite aux railleries subies par le héros masqué vingt ans auparavant. Ou encore Audrey Dana, excellente en Gabriella de la Vega, qui se lance dans un monologue sur les raisons qui l’ont poussée à embrasser Zorro alors que celui-ci est en plein combat. Un Zorro toujours sans peur et sans reproche malgré des difficultés initiales à maîtriser son fameux Z qu’il signe de son épée ou à rentrer dans son costume, qui s’oppose à un Don Diego de la Vega naïf, vivant dans l’ombre de son père, Don Alejandro (joué par André Dussollier). Un contraste de personnalité que Jean Dujardin maitrise sans effort, mais qui, sur le long terme, devient quelque peu mécanique. Pour autant, cette nouvelle version de Zorro (à ne pas confondre avec la fiction espagnole plus sombre, avec Miguel Bernardeau, acteur d'Elite, sortie il y a quelques mois) est une série d’excellente facture — grâce également aux performances d’Éric Elmosnino, génial en « méchant » grandiloquent, appâté par le gain, et de Salvatore Ficarra qui habite avec maestria le rôle muet de Bernardo – une fiction qui ne se prend pas au sérieux et parvient à dépoussiérer l’image d’un héros légendaire. Retrouvez les 8 épisodes de 45 minutes de Zorro sur Paramount+ vendredi 6 septembre et à une date ultérieure sur France 2.
    --------  
  • Zorro avec Jean Dujardin : le héros masqué reprend du service
    Mis à jour le 23 décembre 2024 : Après avoir fait son tour sur Paramount+, voici que Zorro sous les traits de Jean Dujardin arrive sur france.tv, avec les épisodes à découvrir gratuitement sur la plateforme ou en linéaire à partir de ce soir 21h10 pour quatre semaines. En 1821, Don Diego de la Vega devient maire de sa bien-aimée ville de Los Angeles qu’il compte bien faire prospérer. Cependant, la municipalité est confrontée à des problèmes financiers du fait de l'avidité d'un homme d'affaires local. Diego n'a pas fait appel à son double Zorro depuis vingt ans. Mais, au nom de l’intérêt général, il n'a plus d'autre choix que de ressortir son masque et son épée. Très vite, Diego va rencontrer des difficultés à concilier sa double identité de Zorro et de maire, ce qui met à rude épreuve son mariage avec Gabriella, qui ignore son secret. [bs_show url="zorro"] Article publié le 5 septembre 2024 : Los Angeles, Haute-Californie en 1821. Voilà bientôt 20 ans que Don Diego de la Vega a remisé son costume de Zorro au placard. Marié à Gabriella, il vit une relation monochrome ternie par un quotidien qui a érodé leur passion. Ainsi passent ses jours qui se suivent et malheureusement se ressemblent. Mais lorsque son père, alcade de la ville, décède, Don Diego hérite d’une cité qui prend l’eau, lestée par de nombreuses dettes et un esclavagisme flagrant mené sans vergogne par Don Emmanuel. Afin de redresser la barre et redonner leur liberté aux autochtones, il n’a d’autre choix que de ressusciter son pendant masqué pour le plus grand plaisir de son fidèle compagnon, Bernardo. La série éponyme de 8 épisodes, à voir sur Paramount+, signe le retour à la pointe de l'épée (et à la télé) de Zorro dans une comédie aiguisée, portée par une galerie d’acteurs qui portent haut les couleurs de personnages emblématiques. https://www.youtube.com/watch?v=uRSr9QlgWA0 Pile : un Don Diego de la Vega pleutre, face : un Zorro plein de panache Vouloir redonner vie à un personnage emblématique comme Zorro, déjà maintes fois revisité, n’est jamais chose aisée ! Il s’agit de respecter le cahier des charges initial afin de ne pas dénaturer une figure qui fait partie du patrimoine culturel français, voire international, tout en insufflant une part significative d’originalité pour éviter le piège du « déjà-vu ». Et dans cette entreprise délicate, Benjamin Charbit et Noé Debré, les deux scénaristes de cette nouvelle série à retrouver sur Paramount+, ont choisi d’offrir une version humoristique qui prend ses racines dans un anachronisme délicieux et une mise en abyme constante des personnages que l’on voit analyser en temps réel la situation – souvent ridicule – dans laquelle ils se trouvent. Des personnages, d’ailleurs, très en avance sur leur temps, qui font naître avec ce décalage des scènes absolument ubuesques. Ainsi, on peut voir le sergent Garcia (Grégory Gadebois) lire une lettre de griefs à Zorro (Jean Dujardin qui n’est jamais très loin de son personnage d’OSS) expliquant le travail qu’il a dû effectuer sur lui-même pour trouver son « zen » suite aux railleries subies par le héros masqué vingt ans auparavant. Ou encore Audrey Dana, excellente en Gabriella de la Vega, qui se lance dans un monologue sur les raisons qui l’ont poussée à embrasser Zorro alors que celui-ci est en plein combat. Un Zorro toujours sans peur et sans reproche malgré des difficultés initiales à maîtriser son fameux Z qu’il signe de son épée ou à rentrer dans son costume, qui s’oppose à un Don Diego de la Vega naïf, vivant dans l’ombre de son père, Don Alejandro (joué par André Dussollier). Un contraste de personnalité que Jean Dujardin maitrise sans effort, mais qui, sur le long terme, devient quelque peu mécanique. Pour autant, cette nouvelle version de Zorro (à ne pas confondre avec la fiction espagnole plus sombre, avec Miguel Bernardeau, acteur d'Elite, sortie il y a quelques mois) est une série d’excellente facture — grâce également aux performances d’Éric Elmosnino, génial en « méchant » grandiloquent, appâté par le gain, et de Salvatore Ficarra qui habite avec maestria le rôle muet de Bernardo – une fiction qui ne se prend pas au sérieux et parvient à dépoussiérer l’image d’un héros légendaire. Retrouvez les 8 épisodes de 45 minutes de Zorro sur Paramount+ vendredi 6 septembre et à une date ultérieure sur France 2.
    --------  
  • Trois polars psychologiques sur Canal+
    Que vous soyez amateur de thrillers psychologiques, de drames humains ou de mystères intelligents, ces trois séries disponibles sur Canal+ vous emmènent dans des paysages différents. The Tower La première saison de The Tower nous plongeait dans une enquête palpitante après une chute mystérieuse du haut d’une tour résidentielle à Londres, qui laissait derrière elle des questions troublantes et un duo d'enquêtrices complexes. La détective Sarah Collins et sa jeune collègue, Lizzie Griffiths, se retrouvaient mêlées à un réseau de secrets et de conflits éthiques qui mettaient en lumière des dysfonctionnements au sein de la police. https://youtu.be/z5bm-Eewd0I?si=rky08Z9-im2iIscL La série reprend avec Sarah Collins toujours marquée par les événements de la saison précédente. Cette fois, une affaire d’agression brutale dans un quartier populaire déclenche une nouvelle vague de tensions. Tandis que Collins cherche à dénouer une enquête tortueuse, Lizzie lutte pour s’affirmer dans sa carrière et se distancer des erreurs passées. Les deux femmes devront encore une fois jongler entre loyauté, justice et leurs convictions personnelles. [bs_show url="the-tower-2021"] Three Pines Adaptée des romans de Louise Penny, Three Pines suit l’inspecteur Armand Gamache campé par Alfred Molina, un enquêteur charismatique et réfléchi. Envoyé dans un paisible village québécois, il se retrouve confronté à des crimes troublants qui dévoilent les sombres secrets de cette petite communauté. Dans un format procédural, chaque épisode explore des histoires indépendantes tout en tissant un fil rouge autour d’un mystère central : une disparition inexpliquée qui hante Gamache. Au fil des enquêtes, Gamache se lie d’amitié avec des habitants du village, notamment Clara Morrow, une artiste locale pleine de sensibilité, et Olivier Brulé, un propriétaire de café dont le passé cache des zones d’ombre. Ces relations apportent une touche d’humanité et un contraste avec la noirceur des crimes. https://youtu.be/x11Je5RAmVQ?si=Qn-a4G2JzKeLRvYb Située dans les paysages enneigés et pittoresques du Canada, la série mêle humour absurde et noirceur dans un savant équilibre qui n'est pas sans rappeler Fargo. Les fans des romans retrouveront l’essence de l’œuvre originale, tandis que les novices seront séduits par cet univers riche. [bs_show url="three-pines"] Bête noire La saison 2 de Bête noire, le polar canadien, est enfin disponible, après une première qui explorait les conséquences d’une tragédie : une fusillade scolaire perpétrée par Jérémy, un jeune homme sans histoire. La série abordait avec une finesse rare les traumatismes laissés par cet acte, tout en tentant de comprendre les raisons qui ont conduit à un tel geste. Après les événements de la première saison, cette nouvelle édition poursuit l’exploration des répercussions à long terme sur les familles, les survivants et les institutions. Les acteurs qui ne sont pas familiers pour nous, incarnent leurs rôles avec une intensité qui résonne longtemps après chaque épisode. Dans la nouvelle saison, l’histoire se concentre sur un groupe de soutien qui se forme entre les parents des victimes et d’autres touchés indirectement par des drames similaires. Le scénario interroge les notions de pardon, de culpabilité et de résilience. En se concentrant sur les conséquences et non sur l’acte en lui-même, la série se distingue des autres thrillers psychologiques. https://youtu.be/QPSl9BeJOks?si=U_EP5MrvwKRwqz2L Direction Canal+ pour retrouver ces trois séries pleines de suspens !
    --------  
  • Trois polars psychologiques sur Canal+
    Que vous soyez amateur de thrillers psychologiques, de drames humains ou de mystères intelligents, ces trois séries disponibles sur Canal+ vous emmènent dans des paysages différents. The Tower La première saison de The Tower nous plongeait dans une enquête palpitante après une chute mystérieuse du haut d’une tour résidentielle à Londres, qui laissait derrière elle des questions troublantes et un duo d'enquêtrices complexes. La détective Sarah Collins et sa jeune collègue, Lizzie Griffiths, se retrouvaient mêlées à un réseau de secrets et de conflits éthiques qui mettaient en lumière des dysfonctionnements au sein de la police. https://youtu.be/z5bm-Eewd0I?si=rky08Z9-im2iIscL La série reprend avec Sarah Collins toujours marquée par les événements de la saison précédente. Cette fois, une affaire d’agression brutale dans un quartier populaire déclenche une nouvelle vague de tensions. Tandis que Collins cherche à dénouer une enquête tortueuse, Lizzie lutte pour s’affirmer dans sa carrière et se distancer des erreurs passées. Les deux femmes devront encore une fois jongler entre loyauté, justice et leurs convictions personnelles. [bs_show url="the-tower-2021"] Three Pines Adaptée des romans de Louise Penny, Three Pines suit l’inspecteur Armand Gamache campé par Alfred Molina, un enquêteur charismatique et réfléchi. Envoyé dans un paisible village québécois, il se retrouve confronté à des crimes troublants qui dévoilent les sombres secrets de cette petite communauté. Dans un format procédural, chaque épisode explore des histoires indépendantes tout en tissant un fil rouge autour d’un mystère central : une disparition inexpliquée qui hante Gamache. Au fil des enquêtes, Gamache se lie d’amitié avec des habitants du village, notamment Clara Morrow, une artiste locale pleine de sensibilité, et Olivier Brulé, un propriétaire de café dont le passé cache des zones d’ombre. Ces relations apportent une touche d’humanité et un contraste avec la noirceur des crimes. https://youtu.be/x11Je5RAmVQ?si=Qn-a4G2JzKeLRvYb Située dans les paysages enneigés et pittoresques du Canada, la série mêle humour absurde et noirceur dans un savant équilibre qui n'est pas sans rappeler Fargo. Les fans des romans retrouveront l’essence de l’œuvre originale, tandis que les novices seront séduits par cet univers riche. [bs_show url="three-pines"] Bête noire La saison 2 de Bête noire, le polar canadien, est enfin disponible, après une première qui explorait les conséquences d’une tragédie : une fusillade scolaire perpétrée par Jérémy, un jeune homme sans histoire. La série abordait avec une finesse rare les traumatismes laissés par cet acte, tout en tentant de comprendre les raisons qui ont conduit à un tel geste. Après les événements de la première saison, cette nouvelle édition poursuit l’exploration des répercussions à long terme sur les familles, les survivants et les institutions. Les acteurs qui ne sont pas familiers pour nous, incarnent leurs rôles avec une intensité qui résonne longtemps après chaque épisode. Dans la nouvelle saison, l’histoire se concentre sur un groupe de soutien qui se forme entre les parents des victimes et d’autres touchés indirectement par des drames similaires. Le scénario interroge les notions de pardon, de culpabilité et de résilience. En se concentrant sur les conséquences et non sur l’acte en lui-même, la série se distingue des autres thrillers psychologiques. https://youtu.be/QPSl9BeJOks?si=U_EP5MrvwKRwqz2L Direction Canal+ pour retrouver ces trois séries pleines de suspens !
    --------  
  • Joan, Sophie Turner en croqueuse de diamants
    Sophie Turner, qu’on ne présente plus grâce à son rôle iconique de Sansa Stark dans Game of Thrones, revient sur nos écrans avec la mini-série anglaise Joan disponible dès aujourd’hui sur Ciné+ OCS. La production avait remporté le prix de la meilleure série de Marseille Séries Stories, le festival spécialisé dans les adaptations de romans, et la série en question est tirée des mémoires de Joan Hannington elle-même. Surnommée « La Reine des Diamants », cette criminelle britannique est emblématique des années 1980. Joan s’impose comme une plongée palpitante dans un univers de rébellion, d’amour et de survie. À l’occasion du festival, sa créatrice Anna Symon avait répondu à nos questions et comment elle en était arrivée à écrire la série « J’ai lu ses mémoires. Joan Hannington est la vraie femme. J'ai trouvé l'histoire de cette femme incroyable, différente de tout ce que j'avais vu auparavant. Au départ, elle est une mère célibataire maltraitée par son compagnon, elle s'enfuit et entreprend un voyage extraordinaire pour devenir tout d'abord une voleuse opportuniste, puis une voleuse de diamants très expérimentée. En cours de route, j'ai romancé certaines parties de l'histoire. Mais la vraie femme, la vraie Joan, a participé au processus et a vu l'histoire et le drame, et elle pense que c'est fidèle à son expérience à l'époque. » https://youtu.be/I6Zhb4lIgmg?si=tWNtetBz71p-1OGm À la base de la série se trouve un fait divers marquant : Joan Hannington, une mère de famille piégée dans une relation abusive qui s’est transformée en l’une des voleuses de bijoux les plus audacieuses du Royaume-Uni. Après son premier vol de diamants dans la bijouterie qui l’emploie, son existence va être totalement bouleversée par sa rencontre avec Boisie Hannington, antiquaire mais aussi voleur professionnel. Ce dernier va l’entraîner dans une série de casses spectaculaires. Endossant différentes identités et différents costumes, Joan va s'enfoncer dans le monde du crime. Joan ne se contente pas de relater les crimes ; elle plonge dans les motivations profondes de son personnage. Joan n’est pas qu’une criminelle, c’est une femme complexe, tiraillée entre sa soif de liberté et son amour pour sa fille. Sa créatrice explique « j’ai rencontré la vraie Joan pour la première fois dans un café de Londres. Elle a fait de la prison. Mais elle a maintenant la soixantaine, alors que l'histoire de notre série se déroule dans les années 1980. Elle s'est retirée de la criminalité et mène une vie tranquille au bord de la mer avec ses chiens. Elle était très enthousiaste à l'idée d'être impliquée et de s'assurer que je n'aseptisais pas sa vie. Elle a eu une enfance terrible et a été victime de beaucoup de choses avec les hommes. Elle voulait donc que cette partie de l'histoire soit racontée, ainsi que ce que l'on pourrait appeler le plaisir des cambriolages. » Au fil des épisodes, on découvre comment Joan navigue dans un monde dominé par les hommes. Avec intelligence et audace, elle construit un réseau et met au point des stratégies impressionnantes pour commettre ses vols, tout en évitant les forces de l’ordre. Le scénario explore également sa relation avec sa fille, une dynamique émouvante qui humanise encore davantage le personnage. Cette immersion dans les années 80 est omniprésente. Anna Symon insiste sur le fait que « la vraie Joan était une femme très élégante. Nous avons utilisé de nombreuses photos d'elle pour inspirer la conception des costumes. Ainsi, lorsque vous regardez la série, j'espère que vous appréciez le glamour qui s'en dégage. En fait, une grande partie de ce glamour provient de la personne qu'elle était. La robe de mariée que vous voyez lorsqu'elle se marie, une grande partie des tenues ont été authentiquement copiées sur ce qu'elle portait. L'histoire devient donc moins glamour au fur et à mesure qu'elle avance et que les conséquences de ses crimes se font sentir. Mais nous avons décidé d'essayer de garder l’aspect élégant et léché tout au long de la série. L'une des raisons pour lesquelles Joan est attirée par le crime est qu'elle aime le strass et les paillettes, dirons-nous. Nous voulions donc reproduire l'expérience qu'elle vit lorsqu'elle pénètre dans ces mondes, à savoir qu'elle se sent très excitée et enthousiasmée par la richesse de son environnement ». [bs_show url="joan"] En conclusion, Joan « c’est l'histoire d'une femme qui devient riche, qui fait des choix terribles, qui suit une femme qui fait tout avec son cœur et qui est une mère aimante. Mais elle emprunte des chemins terribles pour arriver à ce qu'elle veut. » On retrouve l’intégralité de la mini-série sur Ciné+ OCS.
    --------  

Plus de podcasts Télévision et cinéma

À propos de BetaSeries La Radio

Tous les podcasts des émissions de BetaSeries La Radio
Site web du podcast

Écoutez BetaSeries La Radio, AMIES ou d'autres podcasts du monde entier - avec l'app de radio.fr

Obtenez l’app radio.fr
 gratuite

  • Ajout de radios et podcasts en favoris
  • Diffusion via Wi-Fi ou Bluetooth
  • Carplay & Android Auto compatibles
  • Et encore plus de fonctionnalités

BetaSeries La Radio: Podcasts du groupe

Applications
Réseaux sociaux
v7.1.1 | © 2007-2025 radio.de GmbH
Generated: 1/5/2025 - 12:48:39 AM