Le temps passe, tout file, tout s’efface. Mais il y a ces secondes, ces petites miettes de vie, ces instants qui ne disparaissent jamais.
Dans Les Secondes qui...
Pourquoi on culpabilise toujours, même quand on fait tout bien
On fait tout. On donne tout.On rattrape les minutes, on anticipe les besoins, on remplit les cases.Et puis, quand enfin tout semble en ordre… elle est là.Cette petite voix qu’on ne sait faire taire.Celle qui murmure qu’on aurait pu mieux faire, qu’il restait encore un effort à fournir, un détail à ne pas oublier.Comme si exister en faisant simplement de son mieux ne suffisait pas.Mais à force de vouloir tout combler, ne se vide-t-on pas un peu trop ?Et si aujourd’hui, on décidait que c’était assez ?🎧 Écoutez “Pourquoi on culpabilise toujours, même quand on fait tout bien ?” sur Spotify, Deezer, Apple Podcasts.
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Le gout du Souvenir - A la table de ma grand mère - Une poignée d'amour
Il y a des recettes qu’on note, et d’autres qu’on porte en nous.Ce podcast, c’est l’histoire de ceux qui ont cuisiné avant nous, sans balances, sans livres, mais avec des mains pleines d’amour et des plats qui racontaient bien plus qu’un simple repas. C’est un hommage à ces femmes qui nourrissaient autant les ventres que les âmes, à ces traditions qui se transmettent sans mots, juste par des gestes, des odeurs, des saveurs ancrées dans la mémoire.À travers des récits intimes et des plats qui portent l’histoire de ceux qui les ont préparés, je partage ces morceaux de vie pour qu’ils continuent d’exister, quelque part, entre une poignée d’épices et un éclat de rire.
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La vie est une étoile filante
Pourquoi passe-t-on notre enfance à vouloir grandir et notre vie d’adulte à vouloir ralentir ?Enfants, on se promet de faire mieux. De ne pas devenir ces adultes pressés qui répètent qu’ils n’ont jamais le temps.Et pourtant, un jour, sans même s’en rendre compte, on prononce les mêmes phrases.On sait que tout se répète, que la boucle est tracée d’avance.Mais pourquoi continue-t-on à foncer tête baissée, comme si on pouvait tricher avec l’horloge ?
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Les dimanches qu’on ne capture pas
À quel moment les dimanches en famille sont-ils devenus si silencieux ?Il fut un temps où les dimanches ne s’affichaient pas, ils se vivaient.Des tables trop grandes, des rires trop forts, des débats qui montaient plus vite que la vapeur du couscousier. Des assiettes dépareillées, mais pleines d’évidence. Un moment qui n’avait pas besoin d’être immortalisé, parce qu’il était déjà assez grand pour exister tout seul.Aujourd’hui, les tables sont plus petites, les silences plus grands. On capture l’instant au lieu de le savourer. Est-ce vraiment ça, avancer avec son temps ? ou nous perdons le se,s des priorité ?
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Maternité : entre amour et oubli
Peut-on être mère sans s’oublier soi-même ?À quel moment devient-on mère ? Est-ce quand on les porte ? Quand on les tient pour la première fois ? Ou quand on réalise que plus rien ne sera jamais pareil ?On parle du bonheur d’être maman, mais rarement de ce qui disparaît dans l’équation. De cette femme qui existait avant et qui, parfois, cherche encore sa place entre les couches, les nuits hachées et les bras toujours ouverts.Peut-on être mère sans s’oublier soi-même ? Ou la maternité est-elle, par nature, un effacement ?
Le temps passe, tout file, tout s’efface. Mais il y a ces secondes, ces petites miettes de vie, ces instants qui ne disparaissent jamais.
Dans Les Secondes qui Restent, je les attrape et je les raconte. Je raconte les odeurs qui traversent le temps, les gestes d’hier qui nous habitent encore, la douceur et la rudesse du monde, la cuisine qui soigne, les souvenirs qui résistent.
J’écris des histoires qui goutent le souvenir des odes à ce qui disparaît et à ce qui demeure, des instants figés, des secondes qui restent