Powered by RND
PodcastsTechnologiesZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes
ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet
Dernier épisode

Épisodes disponibles

5 sur 357
  • Alliance forcée pour Apple avec Samsung pour construire un iPhone pliable
    Aujourd’hui, on parle d’un tournant décisif pour les iPhones d'Apple.La marque à la pomme serait enfin prête à se lancer dans le grand bain des smartphones pliants.Un projet qui mijote depuis des années, mais qui semble avoir franchi une étape clé avec l’aide inattendue de son concurrent Samsung.Une décision rare pour AppleApple aurait en effet choisi Samsung Display comme fournisseur exclusif pour les écrans OLED pliables de son futur iPhone.Une décision rare pour Apple, qui aime en général diversifier ses partenaires pour éviter toute dépendance.Mais là, pas le choix. Samsung serait tout simplement le seul à avoir réussi à produire des écrans pliables avec un pli presque invisible. Et c'est justement sur ce défi technique qu'Apple s'est longtemps cassé les dents dans la course au smartphone pliable.Les premiers prototypes fabriqués en févrierLe pli disgracieux au centre de l’écran, longtemps pointé du doigt sur les Galaxy Z Fold, les smartphones pliables de Samsung, aurait été quasiment éliminé grâce à des mois de travail entre Samsung Display et Amphenol, un spécialiste des charnières qui collabore aussi avec Apple.Résultat, les premiers prototypes fabriqués en février auraient enfin convaincu Cupertino.Apple mise donc sur une fiabilité technologique maximale… quitte à écarter des partenaires historiques comme LG ou BOE.Un prix hors norme, même pour un produit ApplePour le reste, l’iPhone pliable viserait clairement le très très haut de gamme. Et serait disponible en 2026.Sur la partie caractéristique, le smartphone serait équipé d'un écran OLED de 7,8 pouces une fois ouvert, et d'un écran secondaire de 5,5 pouces. Le capteur Face ID sous l’écran serait lui encore en phase de test.Côté prix, accrochez-vous. Il pourrait grimper entre 2 100 et 2 300 dollars. C’est environ 1 000 dollars de plus qu’un iPhone Pro Max, et 400 dollars au-dessus d’un Galaxy Z Fold 6. Surtout, Apple vendant ses smartphones bien plus cher en Europe qu'aux Etats-Unis, le prix des iPhones dans les Apple Store français devrait taquiner sans peine les 3000 euros.Un tarif qui s’explique par le positionnement ultra premium d’Apple, et par l’espoir que l’intégration logicielle avec iOS fasse la différence.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    2:56
  • Voici les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique
    Aujourd’hui, focus sur la numérisation des services bancaires avec une plongée dans le tout nouveau rapport Digital Banking Experience Report 2025 signé Sopra Steria.Cette étude permet de mieux comprendre les grandes tendances qui redessinent l’expérience bancaire numérique.Le levier stratégique de la gestion des finances des clients en ligneLe document met avant tout l’accent sur une idée simple mais puissante. La capacité d’une banque à faciliter en ligne la gestion des finances de ses clients est devenue un levier stratégique et un avantage concurrentiel.Par exemple, Plus d’une banque sur deux enrichit ses services numériques pour aider les clients à mieux piloter leur budget.Ce sont ces actions stratégiques qui permettent aux banques de renforcer l’engagement et de fidéliser ses clients.Les modalités de paiement évoluent rapidement vers le numériqueLe second point c'est que les modalités de paiement évoluent rapidement vers le numérique.Le digital gagne du terrain partout en Europe, avec des taux d’adoption records, comme en Allemagne ou en Italie.Les banques misent sur les portefeuilles numériques, les offres de Buy Now, Pay Later, mais doivent aussi affronter des enjeux croissants de fraude. Et c'est cela qui les pousse à augmenter leurs budgets de cybersécurité.L’IA générative s’invite dans les parcours clientsEnfin, le troisième élément clé, c'est que l’IA générative s’invite dans les parcours clients.Elle permet aux banques d’améliorer leurs processus de conformité, de lutter contre la fraude et de personnaliser l’expérience utilisateur.Ainsi, plus de 60% des établissements bancaires s’attendent à augmenter de 10% ou plus leurs investissements dans l'IA générative. Mais attention, des questions éthiques et réglementaires subsistent.Parmi les autres enseignements du rapport, on trouve aussi la montée en puissance de offres de crypto-monnaies, surtout les stablecoin et le bitcoin, l’importance critique de la protection des données dans un contexte d’Open Banking, et l’intégration des critères ESG dans les offres bancaires.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    2:37
  • Chaque métier va pouvoir évaluer ses modèles d'IA spécialisés
    Aujourd’hui, on s’intéresse à une initiative d’OpenAI qui pourrait bien redéfinir la manière dont on évalue les modèles d’intelligence artificielle dans les secteurs professionnels.Il s'agit du programme OpenAI Pioneers.Des évaluations de modèle pour l'instant trop généralistesPremier point, OpenAI fait le constat que les évaluations actuelles de la performance des IA sont bien trop généralistes.Jusqu’ici, chaque lancement de modèle d'IA comme Llama de Meta, ChatGPT d'OpenAI ou Claude d'Anthropic s’accompagne de tests de performance standardisés.Mais ces tests ne reflètent pas les besoins spécifiques des industries comme la santé, le droit ou la finance.OpenAI veut donc combler ce vide en créant, avec l’aide des entreprises clientes, des critères d’évaluation sur mesure pour chaque secteur.Co-construction de benchmarks sectorielsVous l'aurez compris, OpenAI ne va pas faire cela tout seul. Le programme Pioneers implique une collaboration directe entre les chercheurs de la société et les entreprises participantes.Ensemble, ils vont co-construire des benchmarks sectoriels et adapter les modèles d’IA aux besoins métiers. Il s’agit donc d’un double objectif. D'une part instaurer une meilleure confiance du public envers ces systèmes, et aussi affiner la technologie.Le Reinforcement Fine-Tuning comme outil d'affinageEt ce travail sur la technologie est le troisième point important. Car le programme va utiliser une technique nommée le Reinforcement Fine-Tuning. Cette technique, abrégée en RFT, permet d’ajuster les modèles en fonction de cas d’usage bien précis.OpenAI aidera les entreprises à mettre en œuvre cette méthode, puis les accompagnera dans leur déploiement à grande échelle.En clair, OpenAI veut passer d’une IA généraliste à une IA vraiment utile pour les professionnels, en mettant en place un cadre d’évaluation robuste et adapté à chaque métier.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    2:35
  • Comment l'IA va faire exploser la consommation des centres de données
    Aujourd’hui, on parle d’un sujet aussi crucial que technique.Il s'agit de l’explosion de la consommation électrique des centres de données dopée par l’intelligence artificielle.Le premier rapport de l’Agence internationale de l’énergie sur l'IA, publié le 10 avril, tire la sonnette d’alarme.La demande électrique est en train d'exploserPremier point, la demande électrique est en train d'exploser.En 2024, les datacenters représentaient environ 1,5 % de la consommation mondiale d’électricité.Mais d’ici 2030, ce chiffre pourrait grimper à près de 3 %. Oui c'est le double, mais surtout il s'agit de l’équivalent de la consommation actuelle du Japon.L’essor fulgurant de l’IA générativeEt la raison de cette croissance incroyable, c'est l’essor fulgurant de l’IA générative, qui demande des capacités de calcul gigantesques.Résultat, la consommation d’électricité des datacenters pourrait passer d'un peu plus de 400 à près de 950 térawattheures en six ans. C’est tout à fait colossal.Les États-Unis, l’Europe et la Chine représentent déjà 85 % de cette consommation, et la croissance se concentrera surtout aux États-Unis.Un défi énergétique mais également écologiqueBien sûr, il s'agit d'un défi énergétique mais également écologique.Jugez plutôt, un seul centre de données de 100 mégawatts consomme autant qu’une agglomération de 100 000 foyers. Et demain, les plus grands centres de données atteindront une consommation vingt fois supérieure.Cela pose aussi un vrai problème de capacité du réseau électrique.Et côté émissions, la facture grimpe aussi. On passerait de 180 à 300 millions de tonnes de CO2 produites d’ici à 2035.Attention aux "effets rebond"Reste que cette explosion de l'IA pourrait aussi être porteuse d'opportunités.Si l’intelligence artificielle risque de faire bondir la demande d’énergie, elle pourrait aussi améliorer l’efficacité des réseaux. Et également réduire d’autres émissions. Comment ? Grâce à l’optimisation des systèmes.Mais l’AIE reste prudente. L’IA n’est pas une baguette magique dit l'organisation. Sans politiques publiques ambitieuses, les gains pourraient être annulés par les fameux "effets rebond", comme une surconsommation liée à la baisse des coûts.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    2:49
  • Comment l'IA rencontre ses premiers cas d'usages dans les territoires connectés
    Il y a quelques années le monde du numérique bruissait d'un terme anglo-saxon qui faisait saliver fournisseurs, société de services informatique et responsables de collectivités territoriales. Ce terme, c'était celui de smart city. La promesse de ces villes intelligentes étaient multiples, allant d'une meilleure sécurité urbaine à une meilleure efficacité de la dépense publique.Séduite, la ville de Toronto a confié en 2019 les clés du camion à Google. De quoi refroidir le secteur un an plus tard. Pourquoi ? Parce que Google avait fait main basse sur les données de la ville. Depuis, les promoteurs de la smart city se font plus discrets.Sauf Jacques Priol. Cet expert de la donnée publique conseille les collectivités territoriales sur leurs projets de territoires connectés. Des projets que l'on croise en France dans des villes comme Dijon ou Angers.Nous l'avons rencontré.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
    --------  
    4:29

Plus de podcasts Technologies

À propos de ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet

Découvrir au quotidien les enjeux de la technologie. Le podcast de la rédaction de ZDNet, pour les professionnels à la recherche d'infos pratiques et concrètes pour mieux comprendre le marché IT et telco et son influence sur les métiers.    Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Site web du podcast

Écoutez ZD Tech : tout comprendre en moins de 3 minutes avec ZDNet, Le fil IA ou d'autres podcasts du monde entier - avec l'app de radio.fr

Obtenez l’app radio.fr
 gratuite

  • Ajout de radios et podcasts en favoris
  • Diffusion via Wi-Fi ou Bluetooth
  • Carplay & Android Auto compatibles
  • Et encore plus de fonctionnalités
Applications
Réseaux sociaux
v7.15.0 | © 2007-2025 radio.de GmbH
Generated: 4/21/2025 - 6:17:09 AM