SAUVER LA FRANCE : CE QU’IL MANQUE À TOUTE L’OPPOSITION, LES “COJONES” ! | GPTV
Le 13 avril 2025, Serge Federbusch, François Martin, Laurent Martin Saint Léon et Raphaël Besliu étaient les invités de Nicolas Stoquer et Lara Stam dansLe Libre Journal de Géopolitique Profonde, sur GPTV !Serge Federbusch est un essayiste et homme politique français, connu pour ses positions tranchées sur la politique nationale et son engagement contre le déclin de Paris. Fondateur du mouvement Aimer Paris, il est critique des élites politiques et des dysfonctionnements de la gestion publique.François Martin est un géopolitologue, journaliste et essayiste français, diplômé de l’ESSEC et de l’EMBA HEC, et auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Avec une carrière de 40 ans dans le commerce international de l’alimentaire, il a acquis une expérience considérable sur plus de 100 pays et maîtrise six langues et est connu pour ses analyses pénétrantes sur des sujets internationaux complexes.Laurent Martin Saint Léon est un lobbyiste et ancien assistant parlementaire.Le piège de la dédiabolisation et la capitulation politiqueLe RN, sous Marine Le Pen, n’a plus de stratégie : seulement une logique de carrière. En refusant de transformer ses procès en tribunes, elle a raté l’opportunité de dénoncer le système. Cette attitude traduit une dépolitisation qui affaiblit son rôle d’opposition.Le RN s’intègre au système au lieu de le combattre. Il adopte ses codes et devient un rouage institutionnel, perdant toute verticalité et radicalité. En visant l’acceptation des élites, Marine Le Pen trahit ceux qui attendaient une rupture. La dédiabolisation neutralise l’énergie populaire et transforme le RN en parti de notables.Le progressisme comme machine d’exclusionLe progressisme ne débat pas, il impose. Par l’intimidation, le chantage moral, il verrouille l’espace public. Il criminalise les oppositions. L’État français est devenu un régime soft-totalitaire : sans uniforme, mais avec algorithmes, justice orientée, médias comme relais idéologiques.L’école, la culture, l’université participent à la reproduction des dogmes. Toute opposition authentique doit sortir du cadre, désobéir, nommer l’ennemi, assumer l’hostilité. À l’image de la méthode Trump, la radicalité assumée devient une force. Tant que l’opposition cherche à plaire, elle restera inoffensive.Le RN dans la crise française : parti d’opposition ou caution du système ?La France ne décline plus, elle bascule. Ses piliers – autorité, souveraineté, continuité historique – sont détruits. Les ZFE, pseudo-écologiques, illustrent le contrôle technocratique sur les classes populaires. L’écologie punitive devient un outil de surveillance.L’État ne gouverne plus, il gère la désintégration. Les colères populaires, comme les Gilets jaunes, sont neutralisées. Sans idéologie claire ni stratégie de pouvoir, les révoltes sont absorbées. Le système désarme les oppositions par communication, infiltration, discrédit.JD Vance l’a dit : l’ennemi est intérieur. Ce ne sont pas des puissances étrangères qui détruisent la France, mais ses propres élites. Le pays est colonisé de l’intérieur, par une oligarchie qui a choisi la soumission à des intérêts extérieurs.Marine Le Pen a rendu le RN plus institutionnel, mais à quel prix ? Est-il encore une opposition réelle, ou simplement une pièce supplémentaire d’un système verrouillé ?.Support the showNe vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.https://geopolitique-profonde.com/