Rien ne prédestinait Léa Veinstein, intello revendiquée, à se prendre de passion pour Dalida. C’est à peine si, en fin de soirée, elle chantait sur « Laissez-mo...
Dalida et moi (5/5): Il venait d’avoir 18 en philo
Dalida et la philosophie, une rencontre
Jean-Luc Nancy est l’un des plus grands philosophes français vivants, traduit dans le monde entier, auteur, entre autres, de « La communauté désœuvrée ». Admiratrice de son œuvre, Léa découvre avec joie qu’il s’avoue aussi, et sans réserve, fan de Dalida ! Au milieu d’un échange sur les paroles de « Il venait d’avoir 18 ans », il lui parle de la sculpture qui se trouve sur la tombe de Dalida. Léa se rend au cimetière Montmartre, où elle découvre une étrange boîte aux lettres. C’est le début de l’été et ça fait un an que Dalida est entrée dans sa vie.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrements : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio
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17:46
Dalida et moi (4/5) : Intérieur queer
Une histoire de transgenre
Alors que l’obsession Dalida ne la quitte pas, Léa se rend à la mairie du 18ème arrondissement de Paris où se tient chaque année la réunion du fan-club officiel de Dalida. Au milieu des mugs, des coussins et des posters géants, elle rencontre Lulu qui incarne Dalida chaque soir en travesti au célèbre cabaret de Michou. Retour au cabaret pour Léa, mais cette fois derrière le rideau, là où l’on assiste à la métamorphose...
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrements : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio
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11:21
Dalida et moi (3/5) : Une mélancolie arabe
Dalida, symbole de l'exil et l'immigration ?
Après avoir beaucoup pleuré sur les vidéos de Dalida sur YouTube, Léa rencontre l’écrivain marocain Abdellah Taia, fan de la chanteuse. L’auteur du livre « Une mélancolie arabe » voit en Dalida un symbole de l’exil et de l’immigration. C’est ainsi qu’il se reconnaît en elle : Dalida est une femme arabe qui, comme lui, a pris le large.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio
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15:59
Dalida et moi (2/5) : Dalida chez le psy
Strass, paillettes et mélancolie
Même son compagnon doit se rendre à l’évidence, Léa est en train de devenir fan de Dalida. Du coup il lui offre un livre : « Dalida sur le divan ». La psychanalyse peut-elle aider à comprendre la mélancolie de Dalida ? Et le nombre élevé de ses amants qui ont, comme elle, choisi le suicide ? Léa rencontre l’auteur, Joseph Agostini, un psychanalyste passionné par la vie et l’œuvre de Dalida.
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio
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16:15
Dalida et moi (1/5) : Comment Dalida est entrée dans ma vie
Quand Léa l'intello rencontre Dalida la disco
Intello revendiquée, Léa Veinstein ne s’intéresse guère à Dalida. Mais voici que la chanteuse mythique, décédée l’année de sa naissance, cherche à entrer dans sa vie. Ça commence par une soirée dans un cabaret de Pigalle, à Paris, et des frissons en entendant « Je suis malade ». Ça s’aggrave avec la tentative de suicide d’une amie. Puis ça se confirme avec une robe au mariage de sa sœur. Cet été-là, Dalida arrive dans la vie de Léa et y prend vite beaucoup de place...
Qui vit encore avec Dalida ? Comment ses chansons lui survivent aujourd’hui, dans les cœurs, les esprits, et les fins de soirées ? À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses. A chaque thème correspond une rencontre avec un fan inattendu : un psychanalyste, un chanteur travesti, un écrivain marocain, un philosophe traduit dans le monde entier... Son podcast raconte son année avec Dalida. Une année à chanter dans sa voiture, à errer sur Youtube en pleurant, et à tenter de comprendre : et si Dalida, loin d’être ringarde, était une histoire du transgenre, de l’immigration, et même une cougar avant la lettre ?
Enregistrement : 18-19 - Texte, voix et montage : Léa Veinstein - Musique originale et réalisation : Arnaud Forest - Illustrations : Julien Pacaud - Production : ARTE Radio
Rien ne prédestinait Léa Veinstein, intello revendiquée, à se prendre de passion pour Dalida. C’est à peine si, en fin de soirée, elle chantait sur « Laissez-moi danser ». Morte l’année de sa naissance, elle la considérait comme une icône disco dépassée. Mais un été, plusieurs événements intimes la conduisent jusqu'à Dalida. Léa se met à vouloir tout savoir. À travers une approche sensible teintée d’humour et de mélancolie, Léa Veinstein décide d’enquêter sur cette personnalité enchanteresse, entre ultra-féminité et androgynie. Sur sa mélancolie malgré les strass et paillettes. Sur son parcours de femme orientale exilée. Sur la malédiction qui semble planer sur ses relations amoureuses.