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Décodeur de la Communication

Podcast Décodeur de la Communication
Laurent FRANCOIS | Agence Maverick
Le Décodeur de la Communication est le podcast des pro de la com. Chaque semaine, un.e dircom présente son parcours, son job et donne des conseils de carrière. ...

Épisodes disponibles

5 sur 293
  • Réussir ses 100 premiers jours en tant que nouveau Dircom | Marc Thébault, MT Conseil & Formation | Best Of
    Ça y est, vous êtes nommé(e) directeur ou directrice de la communication ! Un poste prestigieux, mais aussi une grande responsabilité. Les 100 premiers jours sont cruciaux pour poser les bases de votre action et prouver votre valeur. Marc Thébault, fondateur de Marc Thébault Conseil, vous livre ses conseils pour réussir cette période clé.4 prises de contact essentiellesMarc identifie 4 prises de contact prioritaires pour un nouveau dircom :Son équipe : Comprendre les dynamiques internes et créer une relation de confiance.Les élus : Identifier leurs attentes et leurs priorités politiques.L’administration : S’aligner avec les services pour assurer une communication efficace.L’environnement : Nouer des relations avec la presse, les réseaux professionnels et les acteurs locaux.La position du dircom : service ou direction ?Un détail, en apparence anodin, peut tout changer : le dircom dirige-t-il une véritable direction ou un simple service de communication ? Ce positionnement dans l’organigramme conditionne son influence et sa participation aux décisions stratégiques. Un dircom en comité de direction a un rôle de conseil et d’anticipation, tandis qu’un responsable d’un service de communication risque d’être cantonné à un rôle exécutif.Clarifier ses missions et éviter les mauvaises surprisesUn poste peut sembler attractif sur le papier, mais la réalité est parfois différente. Marc insiste sur l'importance de vérifier ce qui est réellement attendu du dircom et à qui il rend compte. Son rôle est-il purement technique ou a-t-il une marge de manœuvre stratégique ? Gagner la confiance de son équipeArriver en terrain conquis est une erreur. Un dircom doit rencontrer individuellement chaque membre de son équipe pour écouter, comprendre et s’imprégner des dynamiques existantes. Certaines personnes accueilleront le changement avec enthousiasme, d’autres seront plus réticentes. Une bonne prise de contact permet d’éviter les résistances et de poser les bases d’un travail collectif efficace.Auditer les outils et le budgetAvant d’imposer sa vision, le dircom doit faire un état des lieux des outils existants : supports de communication, prestataires, projets en cours… Un audit du budget est aussi indispensable. Certains engagements sont déjà pris, d’autres peuvent être renégociés. Savoir où en est l’argent disponible permet d’anticiper et d’éviter les mauvaises surprises.Choisir ses prestataires avec intelligenceUn nouveau dircom peut être tenté d’arriver avec ses propres prestataires, mais cela peut être contre-productif. Il est essentiel d’évaluer les partenaires existants, d’explorer les ressources locales et de s’ouvrir à de nouvelles collaborations. Changer pour changer n’a aucun intérêt, mais identifier les meilleurs talents pour chaque besoin est un atout stratégique.Les 100 premiers jours d’un dircom sont intenses et demandent une grande capacité d’adaptation. Il faut jongler entre stratégie et opérationnel, diplomatie et prise de décision, tout en construisant son autorité.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    31:29
  • Valeurs d'entreprise et Raison d'être : Bullshit ou vrais Sujets ? | Fred Fougerat et Jean-François Granat | Ep 137
    Les valeurs d’entreprise, vous y croyez ? Trop souvent réduites à une belle affiche dans l’ascenseur et à des mots creux comme « excellence » et « innovation », elles suscitent autant d’enthousiasme qu’un ppt de 85 slides. Fort heureusement, pour en parler avec sérieux et recul, j'ai réuni Jean-François Granat, directeur de la communication et du marketing dans l’industrie, et Fred Fougerat, l'homme de Tenkan Paris.Les valeurs : un vernis ou un engagement ?Jean-François commence fort : « Une entreprise qui affiche “respect des collaborateurs”, c’est comme si une boulangerie affichait “on vend du pain” ». En clair, certaines valeurs ne sont pas des valeurs, mais des évidences. Pourtant, bien construites, elles peuvent être de véritables repères pour les salariés et les clients. À condition d’être appliquées, sinon, bonjour la dissonance cognitive et les avis assassins sur Glassdoor.Fred, lui, rebondit sur l’idée qu’une valeur doit être vécue, incarnée, et pas juste décorative. Il rappelle que les entreprises qui trahissent leurs engagements se retrouvent dans le viseur des activistes et subissent des crises de réputation dont elles ne se relèvent pas toujours.Raison d'être & entreprises à missionAutre concept à la mode : la raison d’être. Fred et Jean-François restent circonspects. Si c’est pour dire « notre raison d’être, c’est d’être leader du marché », autant ne rien dire. En revanche, quand une entreprise comme Danone déclare vouloir améliorer la santé par l’alimentation, ça a du sens. Même constat pour les entreprises à mission : sur le papier, l’idée est belle. Mais si ça se résume à cocher des cases sans réel engagement, autant éviter l’esbroufe.Les patrons, nouveaux influenceurs ?Autre tendance : le patron star qui veut jouer les Richard Branson. Doit-on vraiment attendre d’un dirigeant qu’il soit inspirant ? Jean-François tempère : si le dirigeant a une vision et sait la transmettre, tant mieux. Sinon, mieux vaut se taire. Fred rappelle que certains ont tenté d’imiter les grands leaders américains sans avoir leur charisme ni leur conviction. Résultat : un effet pschitt !Employee Advocacy : et si on arrêtait de forcer les salariés ?Dernier point abordé : ces entreprises qui poussent leurs salariés à devenir des ambassadeurs sur LinkedIn. J'avoue être sceptique. Jean-François et Fred, eux, nuancent : bien accompagnée, l’employee advocacy peut être efficace, notamment en cas de crise. Mais encore faut-il que les salariés aient envie d’en parler spontanément, et non sous la pression d’un plan com mal ficelé.En résumé : du bon sens, un vrai engagement et surtout.. pas de bullshit !Cet échange riche et piquant se conclut sur une évidence : les valeurs, la raison d’être et l’employee advocacy ne sont ni bonnes ni mauvaises en soi. Tout dépend de la sincérité et de la mise en application. Et si vous avez un doute, évitez de puiser dans la fameuse liste des 150 valeurs les plus utilisées !Tiens, avant de vous quitter, quelles sont les valeurs de votre entreprise, chers auditeurs ? Laissez-moi un commentaire !Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    48:13
  • Bâtir une Stratégie de Communication Interne | Mary Mackay, resp com interne, agglo du Pays de Monbéliard | Ep 136 avec Cap Com
    Comment bâtir une stratégie de communication interne ? Mary Mackay, responsable de la com interne à l’Agglomération du Pays de Montbéliard, partage son expérience et présente son premier livre paru chez Territorial Éditions. Un guide méthodologique rempli de conseils pratiques pour structurer et dynamiser la com interne des organisations publiques… et bien au-delà !👍Pour l'acheter : https://boutique.territorial.fr/batir-strategie-communication-interne.htmlCet échange a été enregistré en décembre dernier, lors du 36e forum Cap Com, que je remercie pour ce partenariat !Un livre conçu pour l’actionMary a écrit ce livre pour répondre à un besoin concret : donner des repères et des outils opérationnels aux communicants internes face aux enjeux de mobilisation et d’adhésion des collaborateurs. Elle y propose une méthodologie éprouvée, issue de son expérience terrain, avec un regard pragmatique et accessible.« À mes débuts, j’aurais adoré avoir ce livre ». L’ouvrage est jalonné de témoignages concrets et de retours d’expérience, permettant aux professionnels de s’inspirer et d’adapter les bonnes pratiques à leur propre organisation.La communication interne : un enjeu stratégiqueLongtemps reléguée au second plan, la com interne a pris une place centrale, notamment depuis le Covid. « La com’ interne a tout d’une grande », rappelle Mary, insistant sur son rôle dans l’engagement des collaborateurs et la transmission du sens au sein des organisations.Elle met en garde contre l’approche purement « outil » qui consiste à empiler des supports sans stratégie claire. Pour elle, tout commence par un audit terrain, une définition précise des objectifs et une vraie réflexion sur les attentes des équipes.À la croisée des chemins : com interne et marque employeurLa communication interne est intimement liée à d’autres dimensions stratégiques, notamment la marque employeur. « On peut promettre une belle expérience aux candidats, mais si la réalité interne ne suit pas, cela crée une énorme déception », souligne-t-elle.Elle insiste sur la nécessité d’une cohérence entre l’image projetée et l’expérience réelle des collaborateurs. C’est pourquoi la communication interne doit être pensée avec la DRH, la direction et les équipes terrain pour créer un environnement authentique et motivant.L’importance d’un accueil réussiMary rappelle un élément fondamental souvent négligé : l’accueil des nouveaux collaborateurs. Elle cite Claude Harter, qui souligne combien les premières impressions sont durables. Un bon accueil, même avec peu de moyens, renforce l’engagement et l’adhésion des agents dès leur arrivée.Un livre à mettre entre toutes les mainsAvec Bâtir une stratégie de communication interne, mon invitée livre un ouvrage essentiel, accessible et immédiatement actionnable. Il s’adresse aussi bien aux communicants internes aguerris qu’à ceux qui découvrent ce domaine. Un incontournable pour toute organisation souhaitant faire de la communication interne un véritable levier stratégique.Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    39:07
  • La Digitalisation de la Télé : une chance pour la Pub et les Consommateurs | Damien de Foucault, Adkemix | Ep 135
    Dans cet épisode du Décodeur de la Com, je reçois Damien de Foucault, fondateur d'Adkemix. Damien décrypte un pan souvent ignoré de la communication : l'achat média . Et bonne nouvelle, la télé se digitalise. Cela représente pour les marques l'occasion de mieux cibler leurs pubs et, pour les téléspectateurs et consommateurs, moins d'agacement !De l'achat d'espace à la stratégie média Commençons par l'achat media. Autrefois, l'achat d'espace publicitaire se limitait à la télé, la radio et la presse, avec des indicateurs comme le GRP (Gross Rating Point). Aujourd'hui, la digitalisation a introduit de nouveaux standards comme le CPM (Coût pour Mille) et a bouleversé les méthodes de mesure et de diffusion. Loin d'être une simple transaction commerciale, l'achat média est devenu un véritable levier stratégique.L'essor de la publicité adressée et le rôle de la tech L'un des grands changements du secteur est l'apparition de la publicité adressée, notamment à la télévision. Grâce à des technologies avancées comme l'ad-stitching et les fameux cookies, il est désormais possible de cibler précisément les audiences. Damien explique comment les ad-servers arrivent en télévision, permettant aux marques d'afficher des messages différents en fonction du profil du spectateur.La télévision se réinventeContrairement aux idées reçues, la télévision n'est pas un média en déclin, mais en pleine transformation. L'émergence de plateformes comme TF1+ et M6+ suit le modèle de Netflix, intégrant des solutions de VOD et de replay enrichies par la publicité digitale. De nouvelles formes d'affichage, comme les bannières en L (L-shape), permettent d'intégrer la publicité de manière plus fluide et interactive.L'équilibre entre publicité et acceptabilitéFace à la montée de la publiphobie, il est crucial de repenser la pub pour qu'elle soit moins intrusive et plus pertinente. Un bon ciblage permet non seulement d'éviter le gaspillage publicitaire, mais aussi d'améliorer l'expérience utilisateur. Comme le souligne Damien, "une bonne publicité est celle qui arrive au bon moment, à la bonne personne".Adkemix : accompagner la révolution médiaAvec Adkemix, Damien accompagne les acteurs du marché dans cette transition numérique. Son objectif ? Aider les diffuseurs et les annonceurs à expérimenter et intégrer ces nouvelles technologies pour une publicité plus efficace et mieux acceptée.Cet épisode apporte un éclairage passionnant sur un secteur en pleine mutation et montre comment la technologie peut être un formidable levier d'innovation pour la communication et la publicité.En somme, cet épisode du Décodeur est annonciateur de bonnes nouvelles : en permettant de cibler les pubs, grâce à la digitalisation, la télé se réinvente. Comme quoi, aujourd'hui encore, rien ne se perd et tout se transforme !Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    44:32
  • Dirigeants et Communication de Crise : les cas Body Minute et Ebra | Olivier Cimelière et Jean-François Granat | Ep 134
    Les dirigeants et la communication de crise : vaste sujet que nous abordons avec Olivier Cimelière et Jean-François Granat.Pour ce faire, nous prenons l'exemple de Body Minute et d'Ebra, qui ont dernièrement défrayé la chronique.Body Minute : une crise amplifiée par la sur-réactionTout commence par une vidéo humoristique sur TikTok, postée par l'influenceuse Lorraine Lévy, relatant une mauvaise expérience chez Body Minute. Un hashtag anodin, quelques dizaines de milliers de vues… l'affaire aurait pu s'arrêter là. Mais la réaction de M. Jean-Christophe David, PDG de Body Minute, va transformer cet incident en véritable tempête médiatique. Une histoire qui va durer près de 2 ans.Au lieu de relativiser, le dirigeant choisit la confrontation : demandes de retrait de la vidéo, menaces juridiques, etc. Cette stratégie défensive s'amplifie contre l'influenceuse, exacerbant l'indignation publique. Le résultat ? Une crise de réputation amplifiée, des retombées presse négatives et une baisse de la fréquentation de certains salons franchisés.Ebra : quand les opinions personnelles déstabilisent une entreprisePhilippe Carli, président du groupe de presse Ebra - DNA, Dauphiné libéré, le progrès, etc. - se retrouve au cœur d'une controverse après avoir liké des publications d'extrême droite. Si ces actes relèvent de la sphère privée, leur impact est public, surtout pour un dirigeant de média censé garantir la neutralité de l'information. La défense de M. Carli, alternant déni et excuses confuses, n'a pas convaincu. Rapidement, le Crédit Mutuel, actionnaire principal, prend ses distances, et la pression interne des rédactions rend sa position intenable. Il démissionne quelques jours plus tard, illustrant l'impossibilité de dissocier image personnelle et rôle professionnel dans un contexte médiatique sensible.Les conseils de Jean-François et Olivier pour gérer la criseMes invités s'accordent sur des principes clés et livrent leurs conseils pour gérer la crise.Ne pas sur-réagir : une crise mineure peut devenir un incendie si l'on alimente la controverse.Garder le recul nécessaire : l'implication émotionnelle des dirigeants est souvent un facteur aggravant.Privilégier l'humilité et la transparence : reconnaître ses erreurs et adopter une posture d'apaisement est souvent plus efficace.Former les dirigeants à la communication de crise : anticiper, préparer des scénarios et déléguer la parole à des experts internes ou externes en fonction de la gravité de la situation.En somme, la gestion de crise ne s'improvise pas. Elle repose sur un mélange d'anticipation, de sang-froid et d'une bonne dose de discernement. Et puis, chers dirigeants, investissez dans un bon dircom. Ca peut servir et pas qu'en situation de crise !Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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