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Choses à Savoir
Tout ce qu'il faut savoir dans le domaine de la Tech et d'Internet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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5 sur 1086
  • Condamnée pour avoir lu un message sur sa montre connectée ?
    Sécurisez votre vie privée avec Surfshark. Vous pouvez profiter de 4 mois supplémentaires en utilisant le lien https://surfshark.com/savoir3Un simple message, une montre connectée et un divorce qui prend un tournant judiciaire. À Montauban, une femme a été condamnée pour avoir consulté un message privé sur la montre de son ex-mari, utilisé comme preuve d’infidélité lors de leur séparation. Mais pour la justice, cet accès non autorisé constitue une violation du secret des correspondances.Tout commence lorsqu’une femme découvre sur la montre de son époux un message compromettant. Pensant pouvoir l’utiliser pour prouver l’adultère, elle l’intègre aux pièces de son divorce. Erreur fatale : selon les articles 259 et 259-1 du Code civil, toute preuve obtenue de manière déloyale ou frauduleuse est irrecevable. Et dans ce cas précis, la justice a estimé que l’ex-épouse n’avait pas l’autorisation légitime d’accéder à cette conversation privée. L’argument de la défense reposait sur le partage du dispositif entre les deux conjoints. L’accusée affirmait que la montre était utilisée en commun et que les comptes étaient souvent accessibles aux deux. « Nous étions encore ensemble à l’époque et nous partagions nos appareils », a-t-elle plaidé. Une ligne de défense balayée par le tribunal : un appareil partagé ne signifie pas un accès libre aux communications personnelles, surtout sans consentement explicite.L’avocate de l’ex-épouse a tenté de relativiser : les codes des comptes de gendarmerie de son mari lui avaient été confiés, tout comme l’accès à certaines données personnelles. Pourtant, pour la justice, l’accès volontaire à des vidéos de stage ne justifie en rien la lecture d’un message privé. Le tribunal a jugé que cette consultation constituait une atteinte au secret des correspondances et a condamné l’ex-épouse à 300 euros d’amende avec sursis. Un verdict qui rappelle une règle fondamentale : même dans un couple, le droit à la vie privée et à la confidentialité des échanges reste protégé. Une montre connectée peut afficher bien plus que l’heure… et parfois, elle mène jusqu’au tribunal. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    3:21
  • Android vous permet de localiser vos proches ?
    Retrouver un objet égaré, un smartphone oublié ou même un proche, c’est ce que permet désormais le service Find My Device de Google. Déployé en avril 2024 pour concurrencer Apple, ce réseau n’a cessé d’évoluer. Sécurisation renforcée, verrouillage à distance, et maintenant, une toute nouvelle fonctionnalité : la localisation des personnes.Depuis le 13 mars, une mise à jour de l’application « Localiser mon appareil » est en cours de déploiement. Et avec elle, une refonte complète de l’interface. Désormais, l’écran se divise en deux parties : une carte en haut et la liste des appareils en bas. Un design plus épuré qui facilite la navigation et offre la possibilité de filtrer ses appareils ou de mettre en avant les membres de sa famille. Mais la vraie nouveauté, c’est l’ajout d’un onglet « Personnes ». En cliquant dessus, l’utilisateur accède à une liste des contacts ayant accepté de partager leur localisation. D’un simple coup d’œil, il peut voir leur position en temps réel sur la carte, et même actualiser leurs déplacements. Pratique pour suivre un proche en voyage ou vérifier l’arrivée d’un ami. Autre option : masquer ou bloquer un contact en cas de besoin.Google a aussi pensé au partage de sa propre position. Il suffit d’appuyer sur un bouton dédié pour envoyer un lien par mail ou message. L’utilisateur peut choisir la durée du partage : une heure, toute la journée ou jusqu’à désactivation. Une flexibilité qui rappelle des services déjà existants, comme celui de Google Maps, mais avec une intégration plus poussée dans l’écosystème Android. Évidemment, toutes ces fonctionnalités nécessitent des autorisations spécifiques pour garantir la confidentialité des données. Google promet une sécurité renforcée, mais cette mise à jour soulève inévitablement des questions sur la vie privée. Pour ceux qui souhaitent tester cette nouvelle option, l’application « Localiser mon appareil » est d’ores et déjà disponible en téléchargement ou en mise à jour. Une avancée qui pourrait bien changer notre manière d’utiliser les services de localisation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:00
  • ReactOS, un Windows open source ?
    Parmi les nombreux systèmes d’exploitation existants, ReactOS fait figure d’exception. Initié en 1996, ce projet ambitieux vise à exécuter nativement les applications Windows, en reproduisant l’architecture et les fonctionnalités de Windows NT. Concrètement, ses développeurs ont recréé une grande partie des interfaces de programmation du système de Microsoft, permettant aux logiciels Windows d’interagir avec ReactOS comme s’ils tournaient sur leur plateforme d’origine.Malgré près de 30 ans de développement, ReactOS est toujours en phase alpha, mais il a prouvé sa compatibilité avec plusieurs logiciels, comme d’anciennes versions de Microsoft Office, des lecteurs multimédias comme VLC ou Winamp, des jeux rétro ou encore des utilitaires comme WinRAR. Son noyau hybride gère les ressources matérielles, la mémoire et les processus, en tentant d’émuler au mieux le comportement du noyau de Windows NT. Pour élargir encore sa compatibilité, il intègre également Wine, un autre projet permettant de faire fonctionner des applications Windows sous Linux.En 2023, l’équipe a surpris en annonçant la compatibilité de ReactOS avec les smartphones Lumia, grâce à la prise en charge de l’UEFI 64-bit (AMD64 et ARM64). Plus récemment, elle a ajouté la stack audio de Windows, même si un bug empêche pour l’instant son bon fonctionnement. Autre avancée : les versions nightly build peuvent désormais être exécutées sur un LiveUSB, sans nécessiter d’installation complète. Une prochaine mise à jour élargira encore cette possibilité, rendant le test du système plus accessible. Si ReactOS reste un projet de niche, il continue de séduire les passionnés de rétrocompatibilité et les adeptes d’alternatives libres à Windows. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:42
  • Pokemon Go vendu, l’Arabie Saoudite menace vos données ?
    Coup de tonnerre dans l’industrie du jeu vidéo : Niantic Labs, le studio derrière Pokémon Go, a annoncé la vente de sa division jeux à Scopely, une entreprise appartenant à Savvy Games Group, lui-même détenu par le fonds d’investissement public saoudien (PIF). Montant de la transaction : 3,5 milliards de dollars.Avec cette acquisition, le royaume saoudien s’offre l’un des jeux mobiles les plus rentables du marché. Depuis son lancement en 2016, Pokémon Go n’a cessé d’attirer les foules, comptabilisant encore aujourd’hui 30 millions de joueurs actifs par mois. Une prise de choix pour le PIF, qui poursuit son offensive sur l’industrie du gaming, après des investissements massifs dans Nintendo, Take-Two Interactive et Electronic Arts.Pour Niantic, cette cession marque un tournant stratégique. Le studio, qui n’a jamais réussi à réitérer le succès de Pokémon Go, a connu des années difficiles, ponctuées de licenciements et d’échecs commerciaux, comme la fermeture de Harry Potter: Wizards Unite en 2022. Désormais, l’entreprise se recentre sur les technologies géospatiales et l’intelligence artificielle. Une nouvelle structure, Niantic Spatial, dirigée par son fondateur John Hanke, verra le jour avec un financement de 250 millions de dollars. L’accord ne se limite pas à Pokémon Go. D’autres titres phares comme Monster Hunter Now et Pikmin Bloom rejoindront également le catalogue de Scopely, tout comme les équipes de développement qui les ont créés. Une acquisition qui vient renforcer l’arsenal de Scopely, déjà propriétaire du très lucratif Monopoly Go, qui a généré plus de 3 milliards de dollars de revenus en un an.Au-delà de l’aspect économique, ce rachat illustre l’ambition de l’Arabie Saoudite de diversifier son économie en investissant massivement dans les secteurs du sport et du divertissement. Après avoir misé sur le football, le tennis et la Formule 1, Riyad injecte désormais près de 38 milliards de dollars dans le jeu vidéo. Mais que vont devenir Pokémon Go et sa communauté ? Pas de changement à l’horizon, assure Ed Wu, responsable du jeu chez Niantic : « Nous voulons rendre l’expérience encore meilleure. » De quoi rassurer les dresseurs du monde entier… en attendant de voir si cette nouvelle ère saura tenir ses promesses. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:13
  • Un groupe français espionne 4 milliards de personnes ?
    Le géant français de la publicité, Publicis Groupe, vient de lever le voile sur l’ampleur vertigineuse de son système de surveillance numérique. Son PDG, Arthur Sadoun, a présenté avec fierté CoreAI, une plateforme capable de collecter, analyser et exploiter des milliards de données en temps réel.CoreAI, qualifié de « suite d’applications et d’agents d’intelligence artificielle », ne se contente pas de tracer les habitudes des consommateurs. Il les anticipe. Sadoun l’explique avec un exemple : celui de Lola, un profil fictif. Grâce à ses outils, Publicis sait qu’elle a deux enfants, qu’ils consomment des jus de fruits premium, que leur prix augmente et que son salaire ne suit pas l’inflation. Résultat ? Des publicités ciblées pour l’inciter à choisir une marque moins chère, au bon moment, sur tous ses écrans. Et Lola, c’est chacun d’entre nous. 91 % des adultes dans le monde figurent dans la base de données de Publicis, alimentée par notre navigation sur internet, nos applications mobiles, nos cartes de fidélité….12 milliards de dollars. C’est ce que le groupe a investi sur 10 ans pour bâtir « l’écosystème marketing le plus puissant au monde ». Un empire consolidé en 2019 avec l’acquisition d’Epsilon (2,3 milliards de profils) et en 2025 avec le rachat de Lotame, une plateforme de gestion des identités numériques ajoutant 1,6 milliard d’identifiants supplémentaires. Mais ce n’est pas juste une question de quantité, c’est la précision des données qui interroge. 7 000 attributs individuels par personne aux États-Unis, 75 % des achats scrutés, et une mise à jour toutes les cinq minutes grâce à un trillion d’interactions traitées quotidiennement par l’intelligence artificielle. Et la protection des données personnelles ? Une illusion. Malgré les réglementations, l’industrie du courtage de données échappe largement au contrôle. Les régulateurs peinent à suivre, et les amendes infligées ne sont que des pichenettes pour ces mastodontes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:04

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