Les Matins Jazz

Aujourd'hui et demain, on vous glisse quelques dernières idées de cadeaux de Noël.Pour un fan inconditionnel du pianiste Bill Evans,  un live inédit vient d'être publié par le label Elemental Music, une archive inédite du concert du pianiste au Festival de Kongsberg en Norvège, en 1970, avec Eddie Gomez à la contrebasse et Marty Morell à la batterie : “Bill Evans In Norway”. Sur le même label, Element Music, on trouve aussi un concert inédit de "BB King in France" au festival Nancy Jazz Pulsations en 1977. Allez, hop, dans la Jazz Hotte!Et pour ceux qui ne peuvent plus se déplacer avant Noël, offrez des places de concert! Et des passes pour les festivals, comme Sons d'Hiver ou Banlieues Bleues.Enfin, on voulait aujourd'hui se souvenir de Chet Baker, né le 23 décembre1929. A l’occasion de cet anniversaire et en cette avant-veille de Noël, on a découvert que le trompettiste dont on croyait tout savoir avait lui aussi enregistré un album de Noël en 1986, à sa manière.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est le jour J! C'est aujourd'hui qu'une main innocente va tirer au sort le nom de l'heureux gagnant de notre Jazz Hotte 2024. N'oubliez pas de vous inscrire sur ce lien pour tenter votre chance. Ce sera ce soir dans notre émission de Noël.En attendant, on continue de remplir la hotte des Matins Jazz. Aujourd'hui, on y met des invitations pour le concert de la chanteuse Lisa Ekdahl le 14 février à la Salle Pleyel. Et on continue à vous donner des idées de cadeaux. Léa Chauvel-Lévy a même imaginé le cadeau idéal pour chacun des membres de la famille le soir du réveillon : Pour la belle-mère fleur bleue : Mon mari de Maud Ventura (Ed. L’iconoclaste)Pour l’oncle baroudeur : L’usure d’un monde de François Henri Deserable (Ed. Gallimard)Pour le papy féru d’histoire : Histoires et avenir des villes de Jacques Attali (Ed. Flammarion)Pour la tante en quête d’origines : Les enfants de Bilbao naissent où ils veulent de Maria Larrea (Ed. Grasset)Pour un ado : On ne dit pas Sayonara d’Antonio Carmona  (Ed. Gallimard Jeunesse) A quoi, on ajouter l'imposant (et très orange) Fellini 23 1/2 d'Aldo Tassone (Ed. Carlotta), pour tout savoir, imag epar image de l'œuvre de Federico Fellini.Et enfin, on a reçu une carte postale! Des nouvelles de Monsieur Mâla, en tournée en Inde.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Amoureux des films en-chantés de Jacques Demy, cette matinale est pour vous!Aujourd'hui, on parle de deux documentaires qui entrent dans les coulisses de leur création.Le premier, c'est "Il était une fois Michel Legrand", dont l'auteur David Hertzog-Dessites sera l'invité ce soir d'Ibrahim Maalouf dans Improbox. A cette occasion, on met dans notre Jazz Hotte le vinyle qui en a été tiré, dans lequel on entend les voix de Maurice Chevalier, Claude Nougaro ou Nana Mouskouri, le saxophone de Stan Getz et toujours, la musique de Michel Legrand, qu'on écoute ce matin se souvenir de sa découverte du jazz et du rêve fou de son album "Legrand Jazz".L'autre film est en ligne sur ArteTV, il a été (très bien) écrit par Frédéric Bonnaud, le patron de la Cinémathèque Française. C'est "Jacques Demy, le rose et le noir", de Florence Platarets,dans lequel le réalisateur des "Parapluies de Cherbourg" se raconte lui-même, souvent face caméra, en l’occurrence celle de son épouse Agnès Varda. Un film d'archives familiales, sans voix off, qui permet d'entrer dans l'intimité de Jacques Demy, et de trouver sous les couleurs ripolinées de ses films… la noire mélancolie. A noter que toute la filmographie de Jacques Demy est aussi en ligne jusqu'au mois de mars, bonheur! Enfin, comme chaque mercredi, on décrypte l'actu en photo, avec Leonor Matet, de Polka Magazine. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C’est une expo merveilleuse qui vient de débuter au Musée de la chasse et de la nature, à Paris, “S'éclairer sans fin” de l’artiste Edi Dubien : des enfants, des jeunes hommes au regard mélancolique, des animaux et des végétaux … autant de sujets qui communiquent, qui communient les uns avec les autres dans une infinie douceur. Le travail d’Edi Dubien est enveloppant, apaisant et pourtant, il porte en lui une sourde inquiétude sur l’environnement et un questionnement sur l’identité. C'est l'artiste qui nous en parle ce matin, dans des extraits de la série d'Arte Atelier A.Comme le lundi, c'est le jour de l'art dans les Matins Jazz, Olivier Célik, le rédacteur en chef du magazine L'Œil vient nous raconter aujourd'hui l'histoire de la peintre Suzanne Valadon, mais il nous parle aussi de lentilles et de la mafia!Et comme c'est bientôt Noël, on glisse un abonnement à L'Œil dans notre Jazz Hotte! Mais pour avoir une chance de la gagner, il faut participer au tirage au sort en remplissant ce questionnaire.Enfin, suite à la disparition du pianiste Martial Solal avant le week-end, on vous rappelle la sortie récente d'une BD que le dessinateur Vincent Sorel, quand amoureux de sa musique, Martial Solal ➤une vie à l'improviste (Ed. du Layeur).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.